__________Purisme dans l’ assiette___________________________________________________ ____________________________________________________________________________________
_______________________________________________________________. Un projet de vie passe par une mise en œuvre rigoureuse. Elle s’érige avec le blanc, dernièrement le passé moins flatteur fait retour. Les mots viennent les uns après les autres. Ils s’accaparent le blanc, s’amassent  en blocs. Les immeubles ponctuent le bord de mer. L’empilement agence l’espace. Dessins rigoureux, planches techniques, maquettes se superposent pour un cadre de vie. Lisse est la revue. Un module en porcelaine est proposé. Cette fragilité se transforme avec la répétition en siège, table, lit et lit double.____________________________________.__________________________________________
______________________________________     _______________________________________________________________.                            Dans la pureté du siège de porcelaine _____________ le module entre en scène. En prenant tous les ingrédients de la sculpture monumentale, il annonce son poids, sa masse, sa pesanteur et offre une vision nouvelle d’un lieu. Jeu d’équilibre où l’insécurité, la petitesse ne sont pas vécues mais représentées. La figure humaine donne l’échelle face à l’empilement d’assiettes. La vie quotidienne s’incruste dans la sculpture. La colonne est elle sans faim? La répétition du module crée ces cellules qui se génèrent les unes aux autres. Elles constituent un ensemble de relations spatiales. Elles énoncent le parcours, la déambulation. Et cette pile qui induit la fin se penche dans un angle de 3,99° vers le sud pour devenir l’emblème de la ville toscane: torre di Pisa._________________________________________________________________________________
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La mise en scène du poids de lourdes plaques a suscité, en son temps, des réactions violentes envers le sculpteur, de son développement vers l’orientation, l’horizon. Vite l’espace se comprime._______. Un cercle tenant lieu de vie. Les agencements intérieurs deviennent le lieu d’exposition ou plutôt les lieux où les modules tentent de parvenir à l’unité la plus juste. Ce cercle devient l’habitat. Avec le minimum dans une quête de purisme absolu, là où l’on mange, dort, se lave, se soulage et vit. Les images abondent dans le zen, la mode glacée, l’hygiénique,________________. La vision nous en est offerte. C’est un lieu clos qui nous est proposé. Aucune entrée! Seules des fentes nous permettent de voir. ____________________________________. ____________________________________________________________________________
Le dedans, le chez-soi, la maison, l’intime, le domestique, le spirituel, dans l’enceinte nous discernons l’enveloppe, l’apparence, la figure, la tenue, la semblance…tout ce qui concerne l’extérieur._______________.  Dehors donc marque que le visible peut être seulement du paraître et ___________vive la porcelaine! Ce mollusque gastéropode, coquillage univalve luisant et poli, aux couleurs vives, qui présente une ouverture en forme de fente étroite.
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