Mettre le travail du dessin en situation de matrice pour investir l’espace numérique: ici s’établit un parallèle avec la pratique de la gravure où le prolongement d’une trace tactile initiale, le dessin, est confronté à l’usage de la machine – en l’occurrence l’ordinateur – pour concrétiser l’estampe.
L’exposition présente une suite d’estampes numériques élaborées à partir d’une série de dessins récents, nommée Reliquaires.