Richard Forestier,
Directeur d’enseignement et de recherche émérite Afratapem/Faculté de médecine de Tours, ancien professeur d’épistémologie artistique (UET Belgique).
Conférence dans le cadre du 5ème centenaire de la mort de Léonard de Vinci, symbole de l’art et de la science.
La peinture qui couvre est confrontée au dessin qui limite.
Dans un esprit néo‐platonicien, c’est une manière d’introduire l’Art dans l’Univers avec l’espace qui se diffuse et le temps qui s’écoule.
L’infiniment grand fait écho à l’infiniment petit. Interface entre les mondes visibles et invisibles, le point représente un repère et une limite concrète entre ces mondes.
En se référant aux carnets de Léonard, le centre présent et invisible tel que l’architecture permet de le concevoir est une représentation du point qui autorise à positionner l’être humain à la conjonction de l’imperfection du carré et de la perfection du cercle.
D’objet dans l’Univers, l’être humain devient sujet de l’Univers. Au carrefour de l’Art, de l’épistémologie artistique et de la science, la pensée de Léonard ouvre une porte sur l’astrophysique et la considération humaine contemporaine.
La création devient créativité.
Infos pratiques
Tarifs
Gratuit - Réservation obligatoire (nbr. limité de places)