Dans l’extension de l’espace où se déroule la scène à proprement parlé, quatre pare-brises rappellent la taille et les courbes de corps. La mollesse du caoutchouc renvoie à la peau élastique autant que la raideur du verre figure un muscle tendu. Ils composent un tableau chorégraphique.
Les collages au mur sont autant d’espaces réels retravaillés par l’imagination.
En vis à vis, une vidéo défile en boucle sur l’écran de télévision, des actions et des motifs se répètent en plan fixe. C’est un autre cadre, mais celui-ci expose des images bien réelles.
Vernissage suivi à 20 h par répétition publique d’ Air de Vincent Dupont.