« Je rafistole, je raccommode, je brode, je tisse un bout d’humanité… »

Lorsque les êtres humains deviennent des marchandises, ils sont mécaniquement standardisés… Aujourd’hui la différence ébranle… C’est pourtant le « tous pareil » qui dérange Fontencomble.
Elle aime les visages et les corps emprunts d’humanité. Elle aime l’Homme avec ses aspérités physiques et mentales, celui qui dérange par sa différence… On nous voudrait tellement lisses, tellement semblables, tellement immuables.
Pourtant, personne n’est lisse, nous sommes tous tordus, inégaux, accidentés, âpres et rugueux. Nous sommes tous en lutte pour arriver vivant vers le jour d’après, tout en gardant, dans nos corps, l’empreinte de nos parcours sinueux.
C’est ce que raconte l’exposition « Comme une empreinte » qui est construite autour de deux grandes séries : De chair, de sang et de sutures, et Ouvrir l’armoire, s’envoler dans son souffle.

Performance samedi 22 janvier à 17h30 : Corps de cendre