« Aplatir mes images (comme avec un fer à repasser), sans les atténuer », écrit Robert Bresson dans ses Notes sur le cinématographe.
Comment interpréter un tel précepte ? Quelle est la nature de l’ « ontologie plate » proposée par Bresson dans sa mise en scène ?
À travers quelques exemples, nous observerons la manière dont l’animal, entre le sujet, l’individu et la personne, hante nos représentations.
La conférence sera suivie de la projection du film de Georges Franju, Le sang des bêtes (Georges Franju, 1948).
Informations partiques :
Jeudi 8 janvier 2015
17h
Amphithéâtre