Aux murs, des volumes flottent.
Leurs enveloppes polychromes craquellent sous la pression légère de la matière qui les emplit.
De coulées en débordements figés, la couleur s’organise librement comme un jeu de contrastes synthétiques dissociant la surface du fond.
Au sol, des volumes s’érigent.
Assemblés par l’érosion sans qu’il n’y paraisse, ils nous ramènent à une certaine verticalité.
Plus loin, des formes des sables nous font signe.
Alors, passant d’épiderme en épiderme, un dialogue des pesanteurs s’installe.
Informations pratiques :
Ouvertures du jeudi au samedi de 15h à 18h30
Entrée libre