« Mon esprit me porte à raconter la mutation des formes en des corps nouveaux» Ovide (1, 1).
La forêt était la bête porte une réflexion sur les zones limitrophes entre espace sauvage et espace dit civilisé. Un travail réunissant une partie de mes recherches autour d’Artémis. La forêt comme espace du mythe, comme un labyrinthe fait de chemin tortueux, elle égare le chasseur et deviens le lieu où les personnages sont confrontés à une vérité dépassant leur champ d’action. Lieu où la conscience d’être devenu la proie de la forêt qui elle est devenue la chasseresse.
La borne a pour ambition de mettre en contact l’art contemporain et le grand public. Cette action innovante est conçue à partir d’un mobilier urbain itinérant en région Centre en mesure de multiplier les points de rencontre dans l’espace public, surprendre le quidam et permettre un large questionnement. Pour l’artiste, c’est un lieu de présentation mais également une contrainte formelle qu’il peut investir d’une création spécifique.